Globaliste : être agnostique quant au système de croyances et à la structure du marché.
Localiste : être pleinement engagé dans la réussite d'un marché local.
Le paradoxe réside dans la nécessité d'être à la fois profondément ancré dans le marché local et connecté à travers le monde. Cela exige notamment d’un dirigeant de reconnaître ses préjugés résultant de la vision qu'il a du monde et d'apprendre comment opérer le plus efficacement possible dans n'importe quel endroit, sans compromettre le succès d'un autre marché sur lequel il souhaite opérer. D’être capable d'exploiter le pouvoir de l'organisation dans son sens le plus large pour réaliser des progrès significatifs et ciblés dans des endroits qui ne lui sont pas familiers. Enfin, cela nécessite une connectivité à la fois mondiale et locale, ainsi qu’une capacité de négocier entre les localités afin d'obtenir un succès collectif.